
Créée en 2020, Kyrrō Éditions est une petite structure qui donne la part belle à l’émotion sous toutes ses formes.
Au travers de cinq collections, à ce jour, aux noms islandais qui invitent à l’évasion, Kyrrō explore les nuances de l’amour. Elskur, l’amour pur et évident ; Ákafur, l’amour torride et sensuel ; Fyndið et Lil’ Fyndið, les comédies romantiques en petit et grand format ; Myrkur, l’amour sombre et bouleversant. Sans oublier la collection Hors-série avec un recueil de nouvelles plus horrifiques les unes que les autres.
Indépendante, engagée, exigeante, Kyrrō ne cesse de chercher à s’améliorer et à rendre l’expérience de son lectorat inoubliable. Qu’il s’agisse de la force des messages transmis, de la singularité des histoires d’amour proposées, de l’innovation avec ses épilogues 2.0, Kyrrō se démarque par son souci du détail.
De la couverture, toujours originale et travaillée, à la mise en page illustrée, chez Kyrrō chaque histoire est choyée, sublimée, pour offrir au lectorat une expérience unique. L’objet livre est l’écrin de l’imaginaire de l’auteur.
Portée par ce slogan « Le lien qui nous lit », la maison d’édition à la corde attache ses lecteurs aux sentiments distillés dans les romans qu’elle propose : émoi, rire, fièvre ou frisson.
Kyrrō fait le choix de grandir sans se presser, préférant la qualité à la quantité. Un pari gagnant qui fait de Kyrrō une maison d’édition qui a l’âme d’un foyer.
Kyrrõ est une maison d’édition à compte d’éditeur. Il ne vous sera demandé aucun financement, personnel ou sous forme de cagnotte participative, pour financer votre publication.
C’est quoi Kyrrõ ? Pourquoi Kyrrõ ?
Choisir le nom d’une maison d’édition, c’est comme offrir un prénom à un nouveau-né. On y cherche du sens. On lui créé une histoire.
En Islande, certains mots ont une définition poétique. Ils expriment un émotion, un sentiment, comme lorsqu’on tourne les pages d’un roman. Et c’est de ce constat, de cette autre passion commune, qu’est venue l’envie d’offrir à notre maison d’édition une histoire, rien qu’à elle :

« Kyrrð, c’est cet instant de paix et de silence, ce moment qui nous tient en suspend et qui nous empêche de respirer l’éternité d’une seconde. Pour moi, c’est le mot qui exprime le moment où l’écho s’est tu, les quelques minutes avant le lever du soleil et celles qui suivent son coucher. Kyrrð, c’est une église vide, emplie de prières silencieuses et de mémoires. Kyrrð, c’est le sommeil de l’enfant. Ce mot, évoque l’impalpable. Il explose avec son « k » initial, le son « i » le suit doux comme un souffle, le « r » roule sur la langue pour s’éteindre sur le son « th » et quand on a fini de le prononcer, les ondes qui ont quitté votre corps se dissolvent dans l’espace et il ne reste que ce silence, celui qui rend hommage à la beauté. »
(Estelle – www.vivreenislande.fr)